mercredi 2 mars 2016

En route pour Destiladeras

Lundi 29 février - année bissextile.

Quelle journée!  Débute à 10 h 00 quand nous quittons la maison.  L'autobus est en retard - il aurait dû être là à 10 h 10 selon l'horaire habituel - il n'arrive qu'à 10 h 30.  Arrivés sur la route nationale, il faut prendre un autobus qui se rend jusqu'à Punta Mita - on croyait bien qu'il y en aurait un qui s'arrêterait sous le pont, mais non, il nous faut marcher jusqu'à l'arrêt.  Il fait déjà chaud. 

Notre chauffeur aime bien la musique disco et désire que nous en profitions.  Tout le long du 30-40 minutes pour nous rendre, il nous fera entendre différentes chansons de cette époque à plein volume.
 
(En passant j'avais une vidéo démontrant tout ça, mais je suis incapable de l'insérer sur mon blog.)

Et il conduit comme un cowboy dans une route sinueuse - j'ai la nausée quand nous descendons finalement.  Et je ne suis pas la seule.

Nous y voilà enfin.

La vue du haut de la route

Bien hâte d'y descendre à cette plage cachée de la route.  Tant mieux qu'elle ne soit pas autant publicisée, il y aurait trop de monde.

Trente marches plus bas, on découvre une plage de beau sable, de l'eau qui me rappelle Les Caraïbes (je sais ce n'est pas la même chose croyez-moi).  Et aujourd'hui les vagues sont d'une belle hauteur pour les adeptes de planche et pour les autres qui aiment se laisser aller avec elles.

Nous nous croirions ailleurs sur une île privée où peu de gens ont accès.  On ne voit pas d'hôtel sauf un au bout de la pointe et quelques villas.  Vraiment très beau.  Je me promène un peu - le coefficient de marée est bas, donc la marée ne descendra pas beaucoup.

29 février 2016 à Destiladeras
 

Et la vue au retour de la marche

Dès notre arrivée, on sent bien qu'aujourd'hui n'est pas la plage que nous avons connue il y a deux ans - cette eau calme, sans trop de remous, où on voit le fond.  Des vagues hautes et qui envahissent notre territoire.

Nous venons de nous installer sous le parasol et déjà l'eau nous envahi
 
Coût pour la location d'un parasol, d'une table et de chaises pour la journée:  150 pesos.  Pas trop cher pour nous éviter d'avoir à tout traîner avec nous.  Un petit resto où on vend des quésadillas, des hamburguesas et du poisson grillé - à côté un bar où il y a la bière pour accompagner le tout.  Un petit kiosque est aussi aménagé un peu à gauche pour des drinks servis dans des ananas.  J'ai essayé un quesadilla aux crevettes - bon et je n'ai pas été malade.  La prochaine fois, j'apporte un petit lunch.  Crudités et sandwich seront à l'honneur.  Ça sera plus santé.  ;-)

 

Le resto-bar de la plage

 
Une autre inondation
En fin d'après-midi, la vague est montée tellement haut que nous avons dû soulever les chaises, les déplacer, courir après les bouteilles d'eau et ramasser notre stock.  Nous avons eu de l'eau quasiment jusqu'aux genoux.  On reviendra à une marée basse.
 
Rencontrée sur la plage durant la marche.
Étoile descendue du ciel ou étoile rejetée par la mer
Quelqu'un cherchera sûrement son étoile

 
Quand nous quittons, nous sommes encore trempés.  Nous attendons l'autobus quelques dix minutes et nous nous mêlons aux surfers qui reviennent de Sayulita ou Mita peut-être.  Une descente en sinuosités et nous sommes bien heureux d'arriver sains et saufs en bas de la route.
 
Une belle journée et nous y retournerons avec grand plaisir avant notre retour au Québec.
 
 
 
ATTENTION PAR CONTRE
 
Le lendemain de notre journée, nous apprenons que des baigneurs arrivés en automobile et garés dans le stationnement tout en haut des marches se sont fait voler tout ce qu'ils avaient laissé dans leur véhicule - portefeuilles, sacs à main et d'autres objets de valeur.  Soyez prudents - tout comme chez nous - ne laissez rien dans votre véhicule même si vos objets sont cachés dans le coffre. 
 
 QUELQU'UN VOUS OBSERVE!
 
 

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